Petite perle revue par Phil Collins d'après une chanson de Bob Dylan : The times they're a changin'
Cette chanson fut écrite en 1964 pour l'album éponyme. Hymne de la jeunesse de l'époque, elle a été depuis reprise par une multitude de chanteuses et chanteurs même si rien n'a vraiment évolué !
Une chanson de Bénabar qui correspond bien à mon humeur du moment
Paroles
Ce n’est pas le mal de vivre, non ça c’est réservé aux esthètes à la dérive, qui jugent la déprime démodée. Je n’ai pas la gourmandise qui consiste à tout détester, c’est pas pour moi le mal de vivre, c’est beaucoup trop raffiné.
Ça ira mieux demain, du moins je l’espère, parce que c’est déjà ce que je me suis dit hier.
La larme à l’œil en automne parce qu’elles sont mortes les feuilles, alors qu’j’les connaissais à peine, elles étaient même pas d’ma famille. Ce n’est pas par désespoir, il faudrait vaille que vaille souffrir du matin au soir, c’est beaucoup trop de travail.
Ça ira mieux demain, du moins je l’espère, parce que c’est déjà ce que je me suis dit hier.
Ce n’est pas non plus du spleen pourtant c’est toujours à la mode, mais c’est de la déprime qui frime le spleen, c’est beaucoup trop snob. Et c’est pas de la mélancolie, c’est dommage ça m’aurait plu, mais les chanteurs ont déjà tout pris, y’en avait plus. Ce n’est qu’une triste compagne, une peste qui murmure, “N’oublie pas que tout s’éloigne et ne restent que les pleurs”.
Ce jour, inauguration d'une nouvelle rubrique, la chanson du siècle de la semaine (toutes proportions gardées bien entendues et ça n'engage que moi ce qui est déjà pas mal !), rubrique inspirée d'une boutique de disque de Clermont-Ferrand.
Pour démarrer, une chanson qui me met la banane, Confettis de Stephan Eicher